• Pour les curieux, et peut-être futurs voyageurs, voici le descriptif de notre périple. Nous avons atterri à Chennai, après un vol Réunion-Maurice, puis escale à Bengalore et enfin Bengalore-Chennai. Déjà, si on n'est pas motivé, on reste devant sa télé. Nous, comme on aime particulièrement l'avion, parce que tout le monde sait que c'est quasiment sans risque (!), on en a repris un dernier pour nous poser à Kotchi (Cochin) dans le Kérala.

    Ensuite, on a pris une voiture avec chauffeur qui nous a ramené sur Chennai en 1 semaine:

     

    Pour arriver à Cochin depuis l'aéroport, nous avons pris le bac. Nous n'étions pas seuls et les chargements étaient très variés:

    Pendant la traversée, on a vu les carrelets, ces grands dispositifs avec des filets:

    C'était l'heure de la pêche, on a pu voir comment ça fonctionnait. D'abord, on met le filet dans l'eau; normal, sinon, on aurait qu'à tendre une poêle et voir les poissons sauter dedans...

    Ensuite, il n'y a plus qu'à relever le filet, avec un système élaboré de poids, de cordes, de poulies et de biceps:

    Nous étions logé dans une jolie maison, la salle de bains était très propre, moderne, avec une jolie robinetterie d'où ne coulait que de l'eau froide. On s'est rendu compte ensuite que c'était fréquent. On n'allait pas se plaindre, parce que tout le monde n'a pas de salle de bains, c'est sûr:

    L'Inde du sud, notre périple

      

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Après une première nuit, on se lève tout guillerets et impatients de prendre notre premier petit-déjeuner indien. J'ai réservé une chambre par airBnB, dans une authentique famille indienne, on aura donc de l'authentique à manger.

    On n'est pas déçu... de la surprise:

    L'Inde du sud, on petit-déjeune

    Un café au lait, pas le choix, qui accompagne un cari œuf bien pimenté, accompagné d'une salade chaude de pommes de terre-carottes. Le rêve, non?

    Au moins, après ça, on est calé.

    Les jours suivants, c'était plus ou moins ça, un ensemble de sauces végétariennes bien épicées avec un étrange pain sans goût cuit à la vapeur je pense. Le tout servi sans couverts et sur une feuille de bananier:

    L'Inde du sud, on petit-déjeune

    Ça, j'ai adoré, c'est un dosaï; évidemment, j'aurais préféré une bonne confiture de myrtilles...

    L'Inde du sud, on petit-déjeune

    On attendait la surprise du petit-déj; on a rarement été déçu:

    L'Inde du sud, on petit-déjeune

    A la fin du séjour, on a eu droit à un café; on n'en avait plus revu la couleur depuis 1 semaine:

    L'Inde du sud, on petit-déjeune

    Toujours sucré et avec du lait; on boit ce qui est dans la tasse, ensuite, on verse le contenu du bol inférieur dans la tasse et on boit. Je n'ai pas bien compris pourquoi on n'a jamais une tasse carrément plus grande ou moins de café. Je chercherai la réponse.

    Si vous avez une panne de gaz pour faire la cuisine, vite, faites appel au livreur; celui-là vient de déposer la bouteille centrale. Pas mal quand même:

    L'Inde du sud, on petit-déjeune


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  • Nous voilà de retour!

    On est contents d'être revenus, bien que déjà nostalgiques. Mais surtout, on a bien cru que nos vacances allaient se passer à la maison, parce que, sans le retard que la compagnie avait pris à l'enregistrement avec les autres passagers, on aurait trouvé guichet clos!

    Dépaysement total. On est parti dans un autre monde, sur une autre planète.

    Planète transport

    On descend du 3ème avion, on se fait récupérer par notre taxi, et nous voilà sur la route, où j'ai cru mourir 100 fois... par jour:(cliquer sur les images pour les voir en entier)

    Ne croyez pas qu'on attend patiemment derrière ce flot de rickshaw et de motos! Non, patiemment, on double à droite, à gauche, on passe au milieu... et on klaxonne!

    On peut aussi prendre le bus, mais ils sont souvent pleins; pas grave, quand il y n'y a plus de place dedans, il y en a dehors:

    S'il n'y a plus de place dans le camion, pas de problème! En plus, ça cale la marchandise:

    Pas de trajet à vide. On remplit avec ce qu'on trouve:

    J'ai découvert de nouveaux moyens de transport:

    Là, c'est la même chose mais sans le moteur...

    Là, c'est la même chose mais sans les roues; du coup, ce n'est plus la même chose:

    Vous croyez qu'un deux roues, c'est moins bien qu'une voiture pour transporter des marchandises, parce qu'on en met moins? Pas sûr:

    Le rangement, c'est tout un art!

    Puisque je parle de rangement... et si je vidais ma valise?

     


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  • Il est temps que je fasse ma valise, nous partons demain.

    Petits heurts à répétition avec l'Homme à ce propos; ça commence bien, les vacances! L'Homme est devenu parano et envisage de faire emballer nos valises avec du film transparent, afin de ne pas se retrouver en prison pour le reste de ses jours si un malveillant avait glissé quelques kilos de drogue.

    Ce à quoi je réponds que s'il croit avoir une chance que ça lui arrive, c'est le jour pour lui d'acheter un billet de loterie.

    Je reste persuadée qu'il a un problème avec la géographie, parce que l'Inde, ce n'est pas l'Asie! Finalement, je lui ai confié une valisette qu'il prendra en bagage à main, même chose pour Petite Perle, même si je doute qu'elle arrive à y faire rentrer toute sa garde-robe garde-short, et je prends le risque, ô combien incommensurable, de mettre une valise à mon nom de jeune fille dans la soute.

    Si l'Homme devient peureux, la prochaine fois, on visitera le massif central; palpitant, non?


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  • l'humidité, le vent, et les moustiques.

    Et ce n'est pas fini, on dirait:

    Après la pluie...

    Après la pluie...

     

    La végétation a déjà bien profité de l'eau, il faut donc tondre, tailler.

    Avec le vent, une branche du cocotier, environ 15kg, est tombée dans la piscine; j'en conclus qu'il faut éviter de se baigner lorsque ça souffle fort.

    Pas de dégâts dans la maison; autour de nous, au minimum, des infiltrations d'eau le long des murs, les assureurs sont à la fête.

    Le malheur des uns fait le bonheur des autres.

    Duquesnoy-Balzac, ce jeune d'un autre âge (!) que nous avons reçu il y a quelque temps,(article du 15/02)  a fait sa réapparition. On a trouvé un arrangement; il garde la maison pendant qu'on part en vacances!

    Chez nous, le bonheur de l'un fait le bonheur de l'autre!

     

     


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